Commençons par le début. En 2012, je me rends compte que mon armoire abrite des dizaines de vêtements que je ne porte tellement jamais qu’ils sont retournés à l’état sauvage. Il y en a dont j’avais carrément oublié l’existence, c’est dire. J’ai donc décidé de trier. Trois ou quatre cartons sont partis à la Croix Rouge, quelques vieux chiffons sont partis à la poubelle, mais il me restait un bon carton ou deux de vêtements neufs ou presque. Et on m’a parlé de Videdressing.com. On peut y mettre en vente ses vêtements qu’on ne porte plus, les envoyer avec suivi aux quatre coins de la France, le site agissant comme tiers de confiance en garantissant le paiement une fois le colis arrivé. Ces services sont financés par une commission que le site prélève sur les ventes, de 10% du prix de vente de l’article à l’époque. Parfaitement acceptable.
Je me suis donc inscrite et j’ai rempli ma boutique en ligne. Finalement, un peu plus de 70 articles se seront retrouvés présentés. J’ai commencé à vendre, doucement, mais sûrement, sans avoir le moindre gros souci sur mes commandes. La seule fois où ça m’est arrivé, le Service Client a été efficace et ça s’est réglé relativement vite. Me voilà donc très contente, je vends certes peu et pas cher, mais je vends quand même et mes cartons se désemplissent petite à petit au fil des commandes. Quand on connaît le peu de chance que j’ai eu de ce côté sur leboncoin.fr (cf mon article), on se doute que j’étais plutôt satisfaite du site.
Mais passons. Cette nouvelle commission ne s’appliquant qu’aux articles mis en vente après son instauration, les membres ont, comme moi, la possibilité d’arrêter de mettre de nouveaux articles en vente et se contenter de vider leur boutique. Mais non, ça non plus, ça ne plait pas au site. Parce que depuis quelques jours :
Bref, vous l’aurez compris, après deux ans de fidélité, Videdressing.com et moi, ça sent la fin. Si vous connaissez d’autres sites où je pourrai mettre ce qui me reste en vente, je suis preneuse, sans quoi, je pense que ces cartons suivront leurs petits copains à la Croix-Rouge.